[Vitrine du Cameroun] – Victime d’une campagne de sabotage, mal étiquetée et taxée à tort d’être à la solde de quelques politiques, le bureau national de l’association Nationale des Citoyens pour la promotion du vivre-ensemble (ANACIT) fait le point.
Née après l’observation de vastes campagnes de violence et de montée en puissance de l’irrespect des valeurs institutionnelles qui ont gravement effrité l’image du pays à l’intérieur comme à l’extérieur, l’ANACIT se veut être un cadre de formation, d’éducation et de préparation de la jeunesse à la défense de « ce que nous avons de plus cher et en commun », le Cameroun.
Si le mouvement a choisi pour cible la jeunesse, fer de lance de la nation, c’est que d’une part, mal affûtée, la relève glorieuse tant espérée risque ne pas avoir lieu, et d’autre part le mal-être et la frustration, ver qui gangrène le fruit risque détruire tout effort de développement et changement.
Pour l’équipe que dirige Christian Romuald Nna Nna, Président National ANACIT, il ne se fait aucun doute, fidèle et attachée aux valeurs républicaines, « le niveau de moralité de notre jeunesse se dégrade » mais tout n’est pas encore perdu car la solution du problème de trouve dans le problème lui-même.
Pendant près de 2 ans, le mouvement a pris le temps de mûrir ses stratégies et prépare désormais son déploiement sur l’échiquier national et compte toucher la jeunesse scolarisée ou non avec des programmes bien précis : raison pour laquelle l’ANACIT compose aisément avec les différents programmes du Ministère de la Jeunesse et de l’Education Civique et autres sectorielles pour leur insertion sociale.
L’ANACIT, il faut le préciser est loin d’être une structure de création d’emplois ou un raccourci pour accéder à un emploi ou à des faveurs de quelques Hauts cadres que ce soit. Derrière l’ANACIT, a tenu à le préciser son président, ne se trouve aucune machine (personne) politique.
Précision faite, place au déploiement des troupes: Thierry Belinga a été présenté comme Coordinateur Régional du sud.
Journaliste indépendant. Auparavant, j’ai exercé mon métier dans plusieurs journaux en ligne au Cameroun, avant de rejoindre la rédaction de Vitrine du Cameroun comme correspondant dans la région du Sud.