
[Vitrine du Cameroun] – Permettre aux hommes des médias des zones en détresse et en conflits de partager le message d’espoir et non des faits provocant la torpeur aux populations sinistrées, voilà le prétexte d’un séminaire organisé par la Croix Rouge camerounaise à l’intention des hommes de médias du sud.
Vénus des départements de la Vallée du Ntem et de la Mvila, portes d’entrée et de sortie du Cameroun vers les pays de la sous-région, la dizaine de participants va pendant deux jours se frotter aux exercices en situation de crise afin d’apprendre à adapter les messages à la nouvelle orientation tout en respectant les canons et genre journalistiques.
La gestion des différentes crises et pandémies est à n’en point douter’ à la base de l’organisation des présents travaux qui puisent également leur essence dans l’apparition il y’a quelques semaines des cas de décès dus à la maladie a virus Marbourg en Guinée Équatoriale, voisin frontalier du Cameroun.
Au bout du rouleau, il est question de changer la donne quant aux différents effets recherchés auprès des destinataires des messages diffusés car la communication life line c’est avant tout » proposer des solutions au lieu de faire un zoom sur le bilan des victimes et sur les problèmes, donner des informations utiles qui permettront aux destinataires, populations cibles d’être au calme et en sécurité, bref, donnée des informations qui permettent aux destinataires de comprendre ce qui se passe et comment être à l’abri pendant une période ou en zone de crise humanitaire.

Journaliste indépendant. Auparavant, j’ai exercé mon métier dans plusieurs journaux en ligne au Cameroun, avant de rejoindre la rédaction de Vitrine du Cameroun comme correspondant dans la région du Sud.