[Vitrine du Cameroun] – Au moment où l’opinion estime que le système en place a atteint la frénésie d’un échec sur plusieurs plans et que les conditions de vie des citoyens camerounais se dégradent, le peuple Uni pour La Rénovation Sociale au travers de son leader, S. E MATOMBA appelle à suivre l’idéologie de la rupture, de la rénovation et de la création
POURQUOI LA RUPTURE ?
« Les décisions administratives conséquentes pour les peuples, pour les jeunes surtout, ne concordent pas avec les besoins de ces derniers, ne reflètent pas le développement. C’est à cela qu’on reconnait un gouvernement de continuité dans la souffrance, dans l’esclavage » avance le Premier Secrétaire du P.U.R.S qui soutient qu’il est venu le temps d’avoir un gouvernement libre, sans poings ni pieds liés, comme cela se voit ailleurs. Un gouvernement qui pense à une démocratie, non pas de nom, mais une qui permet à chaque citoyen de jouir des richesses de son pays. « Où vont les richesses de notre pays ? Elles nous échappent à la suite de contrats avec des entreprises étrangères qui les exploitent, elles nous échappent à la suite de ce que nos autorités appellent « investissement étranger » et pourtant nous pouvions accentuer nos efforts sur l’industrialisation de nos ressources. » martèle l’homme Politique Camerounais.
ADHESION AUX COALITIONS POLITIQUES ACTUELLES… POURQUOI PAS ?
« Nous n’avons pas besoin de plusieurs associations d’hommes, il faut avoir plus de points de convergences car nos objectifs ne s’articulent pas autour de postes au sein du gouvernement dirigé par un système de continuité du lègue colonial. » souligne Matomba Serge Espoir au sujet de son absence dans les rangs des coalitions politiques et autres projets de transition politique au Cameroun. L’essentiel selon lui, n’est pas d’être nombreux ensemble face au parti en place à l’échéance 2025, mais plutôt d’avoir des idées qui rassemblent et se ressemblent aux fins de créer un nouvel ordre national. A la question de savoir : que veulent les Camerounais ? Serge Espoir estime que les coalitions politiques peuvent inconsciemment négliger la réponse parce que davantage tournées vers un rassemblement d’hommes face à un autre, plutôt que la profondeur des idées face à un vase vide.
« Ensemble, c’est vrai nous sommes forts, mais regardant dans la même direction avec des points de convergences, nous sommes invincibles. » conclu MATOMBA S.E
Journaliste, correspondant de Vitrine du Cameroun en France.