[Vitrine du Cameroun] – Le 27 mars dernier, Douala a été secouée par un acte de violence inacceptable. Nouma Alain Armand, conseiller municipal de Douala 3ème, a été victime d’une agression à coup de poignard à Logbaba. Malgré les efforts des équipes médicales, il est malheureusement décédé le 29 mars. Cet événement a profondément marqué la communauté locale et a suscité de vives émotions parmi les citoyens.
Les premiers retours des autorités
Lors de la séance du conseil municipal le 14 avril 2025, le préfet du Wouri, Mvogo Sylvac Marie, a abordé cette affaire. Répondant aux préoccupations des membres du conseil, il a affirmé que les enquêtes se poursuivent activement. « Les enquêtes suivent leur cours, nous avons déjà quelques pistes », a-t-il déclaré. Ce constat, bien que rassurant, invite à la réflexion sur la sécurité des élus locaux et leurs conditions de travail.
Une communauté en quête de justice
Les commentaires du préfet ont mis en lumière une réalité troublante. Il a également mentionné que les assassins de Nouma Alain Armand étaient des personnes connues de lui et du comité, ce qui soulève des interrogations sur la sécurité publique.
Les citoyens de Douala 3ème espèrent que la justice sera rendue et que des mesures seront prises pour protéger ceux qui représentent la voix de la communauté. Dans une époque où la violence semble omniprésente, il est essentiel que chacun soit protégé et que des actions concrètes soient mises en œuvre pour prévenir de tels actes.
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