Ce revirement de situation a été accueilli avec soulagement par BAT Cameroun. Le litige, impliquant plusieurs noms liés à la présidence, semble désormais connaître une résolution en faveur de la multinationale. Néanmoins, la décision met aussi en lumière les complexités et les influences entourant les affaires foncières à Yaoundé.
L’affaire British American Tobacco pose des questions sur les procédures d’expropriation au Cameroun. La décision du président Paul Biya pourrait bien ouvrir la voie à une réévaluation des méthodes employées lors de litiges fonciers, offrant ainsi un précédent pour d’autres entreprises confrontées à des situations similaires.
Journaliste, correspondant de Vitrine du Cameroun en France.