Cette nouvelle initiative va recenser le potentiel de 04 (quatre) Produits Forestiers Non Ligneux à savoir la Mangue Sauvage, le Djansang, l’Okok, les Champignons auxquels s’adjoignent les Chenilles.
Lors de cette séance de travail qui a connu la participation des responsabilités du ministère des forêts et de la faune et ceux de la FAO, SG de ce ministère Joseph NYONGWEN représentant le ministre Jules Doret Ndongo a félicité excellence cooperation qui unie le Cameroun et la Fond Alimentaire Mondial qui est encore perceptible ce jour avec cet atelier.
Il est important de signaler que très récemment les États membres de la FAO ont conseillé à ses organes directeurs de mieux s’impliquer sur les questions liées à l’agriculture et à la foresterie pour une meilleure et de collaborer avec le système des Nations Unies pour l’agriculture pour renforcer ses travaux sur la contribution des forêts à la sécurité alimentaire et à la nutrition.
Notons que la FAO a il y’a quelques semaines adopté un document interrégional au Cameroun, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, au Paraguay, aux Philippines et au Vietnam pour harmoniser la contribution des ressources alimentaires forestières à la sécurité alimentaire, à la nutrition et à la biodiversité.
Ce projet vise à renforcer et à institutionnaliser les capacités gouvernementales à appuyer les interventions et à mobiliser des ressources pour accroître les contributions du secteur forestier à des systèmes alimentaires sains et durables. Le Cameroun est remarquablement riche en biodiversité. Les forêts sont une caractéristique dominante de l’écologie du pays, couvrant environ 43 % des terres du pays, caractérisées par une grande diversité d’espèces. Cette riche biodiversité et cette couverture forestière créent des interactions uniques et diverses avec les moyens de subsistance de la population.