Selon le l’UCCAF, la CAF, en tant qu’instance faitière du football africain, a le devoir de protéger ses membres par-dessus tout, et non de les fragiliser comme tel est le cas avec monsieur Samuel Eto’o Fils et son Comité Exécutif. Or le communiqué cite le nom de Samuel Eto’o sans nommer les plaignants qui sont ainsi protégés.
Par ailleurs, « en qualifiant les accusations de sérieuses, la CAF donne un point de vue partisan, voire une orientation à ces investigations, sans avoir contradictoirement écouté la version de son membre face aux allégations de ces tiers, qui ont du reste sciemment ignoré les organes juridictionnels internes de la FECAFOOT pour saisir directement la CAF, ce qui constitue une violation des procédures internes », lit-on.
« L’UCCAF suivra avec une attention toute particulière le dénouement de cette regrettable situation, qui soit dit en passant peut constituer une véritable menace à l’ordre public au Cameroun, en même temps qu’elle renouvelle son soutien à monsieur Samuel ETO’O Fils et à son Comité Exécutif », indique-t-on.
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